Tu n'est pas brillant,
Ton discours, brûlante.

C'est bien sur:
De la Moyen Age,
Tes mots maux, durs.
C'est comme tu as un grand sub, oui,
Et tu craches croques quand tu manges.
Ta bouche est louche, bat sans éclat,
Pas le voix des anges.

Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle, un trou
Où des mots tu fais,
Maux; tu ne me plais.
Tu parles pour m'envoyer fou;
Impossible d'employer "vous."

Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle, mon dieu!
C'est des fautes tu fais,
Et tu ne me plais.
Il faut que je dise, "Adieu,"
Et que tu sortes de ce lieu.

Tu frappe mon oreille,
Ce n'est pas Corneille
Que j'entend; je désire être
A Vince pareil.
Je pense que le son est comme une mélange
De cochon, conque, con, et coq; c'est bien étrange.

Ta bouche est louche,
Ta bouche est louche,
Ta bouche louche, je la douche
Avec savon frais,
Et ça vaut le paix
Qui à ce moment me touche,
Et possiblement, je me couche?

Blah, blah, blah. . . .

Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle,
Ta bouche est folle, mon dieu!
Et je sais maintenant, ce qui'il faut que je fasse.
Parce que tu ne diras pas "adieu,"
Puis, je quitterai ce lieu
Et me mettre au pieux.


Brilliant you are not;
Your talk is red hot.
As out it spurts,
Sounds near Medieval.
Harsh words you blurt
Out, as if you eat a sub
And spit the whole damned sandwich.
Your lips flap without brilliance;
Voice ain't angelic.

You talk crazy,
You squawk crazy,
Your maw's crazy, a hole
Where bad words gestate;
Makes me so irate,
I no longer can extol
You in formal form, ahole!

You talk crazy,
You squawk crazy,
Your maw's crazy, my god!
Mendacity
In loquacity.
On my pleasure you have trod;
I'll give you the goodbye nod.

Yeah, you caught my ear;
And what I did hear
Weren't classic language; wish I had
A van Gogh shear.
Cacophonous combo of crowing cock,
Conch concerto, doggèd idiot, hog hamhocked.

Your talk is schlock,
Your talk is schlock,
Your talk is schlock; I shock
Your mouth; sudsed soap
Brings me peace; I hope
I can don my warm dorm frock,
Wake in morn to alarm clock.

Blah, blah, blah. . . .

Still crazily,
Still crazily,
Still crazily you bay.
And I now I understand the move that I must make
'Cause it's clear, "goodbye," you're not gonna say.
So I'll have to get away
From your bray to hit the hay.